Défaut de jeunesse [I]versus[/I] mutilations volontaire
Lors de la seconde semaine du procès de deux dentistes marseillais, poursuivis notamment pour mutilations volontaire sur plus de 300 patients, le tribunal correctionnel a ommencé l’audition de plaignants. Des experts médicaux ont réfuté l’hypothèse d’erreurs médicales avancée par les prévenus. Le principal praticien a évoqué un « défaut de jeunesse » pour justifier ses mauvais choix thérapeutiques à une si grande échelle.