Pourquoi je mets plus d’aliments «technologiques» dans mon assiette
En Suisse, il est facile de passer à un régime pauvre en produits d’origine animale. Le pays dispose d’une vaste palette de restaurants et de magasins d’alimentation végétariens ou végétaliens. Le marché des alternatives végétales à la viande, au fromage et au poisson y est en plein essor. Pourtant, la transition de notre journaliste vers une alimentation plus durable s’avérera plus compliquée que prévu. La décision d’éliminer presque complètement les protéines animales de ma vie est survenue comme un orage dans un ciel serein en janvier 2021. J’avais survécu à un Noël fondé sur la fondue chinoise, les saucisses et la crème de mascarpone et voulais expier mes péchés de goinfrerie. Quelques lectures cruciales, le yoga et la pandémie m’avaient ouvert les yeux sur l’impact de mon assiette sur l’environnement, sur notre santé et le bien-être des animaux. Avec Veganuary, le défi végane d’un mois auquel plus de 2 millions de personnes ont participé depuis 2014, j’avais une bonne raison…