Mariées à l’IA, les neurotechnologies soignent, mais inquiètent

Les neurotechnologies combinées à l’intelligence artificielle (IA) permettent de traiter des maladies comme Parkinson ou la dépression et d’améliorer le bien-être psychique du patient. Elles sont également à même de modifier nos cerveaux et lire dans nos pensées. Souvent, des firmes privées les contrôlent, à l’image de Neuralink d’Elon Musk. D’où les velléités de réguler qui s’expriment en Suisse aussi. L’implantation dans le crâne humain du premier électrode capable d’enregistrer l’activité cérébrale remonte à 1924. Un siècle plus tard, les neurotechnologies combinées à l’intelligence artificielle (IA) sont capables de restaurer la parole et la mobilité de personnes souffrant d’aphasie ou de handicaps moteurs. Intégrer l’IA dans les dispositifs d’interface avec le cerveau permet l’interprétation de données neuronales complexes en temps réel et d’adapter la réponse aux besoins individuels du patient. Une avancée susceptible d’élargir les options thérapeutiques face à des affections …