Ariane Rustichelli: «Les intérêts des Suisses de l’étranger étaient davantage pris en compte avant la pandémie»
Le chemin professionnel d’Ariane Rustichelli la mènera vers de nouveaux horizons en 2025. Après presque 17 ans passés à l’Organisation des Suisses de l’étranger (OSE / SwissCommunity), dont dix en tant que directrice, elle a annoncé cette semaine son départ de l’organe qui défend les intérêts de la diaspora. Accélération et complexification du travail, pression financière, modernisation de la structure: les défis qui attendent l’Organisation des Suisses de l’étranger ne manquent pas. Durant ses dix années passées à la tête du lobby de la Cinquième Suisse, Ariane Rustichelli a accompagné les nombreux bouleversements et suivi au plus près les évolutions sociétales au sein de la diaspora. Elle tire un bilan de son expérience et des défis qui attendent l’OSE et les Suisses de l’étranger dans les mois et les années à venir. swissinfo.ch: Ariane Rustichelli, vous avez décidé de quitter l’Organisation des Suisses de l’étranger après 17 années au service de cette institution. Pour quelles …