Cabinet Philippe ALLIAUME

Avocat à la Cour d'appel de Paris

Le Giboin

 

> Cuisine française

Le restaurant Le Giboin vous accueille dans un cadre calme et authentique à proximité de la communauté d’agglomération du Val-de-Seine dans les Yvelines. Un endroit idéal pour des déjeuners détente ou repas d’affaires. Ancienne auberge basque construite en 1920, le bâtiment revêt un caractère historique. Sur les routes de la Normandie et au bord de la Seine, les vacanciers aimaient y faire une étape. Réputé pour ses cocktails et sa cuisine raffinée, Le Giboin vous invite à une pause gourmande.
Tous les plats ainsi que le service au bar et en salle sont réalisés par et avec les jeunes de l’unité éducative d’activités de jour des Yvelines.

 

Pendant la crise sanitaire le restaurant est temporairement
fermé au public
, mais les jeunes en apprentissage vous proposent
de la vente à emporter et un service de livraison.

Horaires :

Jeudi et vendredi à partir de 12h30
Sur réservation le mardi avant 17H pour 4 formules
par lieu de livraison au 01.30.95.42.62 ou 06.26.59.48.80.

 

Tarifs :

Formule : entrée plat dessert à 10 euros (7, 50 euros pour les professionnels
de la PJJ).

Les plus :

Paiement par espèce et chèque

5 boulevard de la Plage 78410 Aubergenville | 01 30 95 42 62

Au restaurant en camping-car

La restauration fait partie des secteurs d’activité les plus durement touchés par la crise sanitaire actuelle. Alors, désireux de sauver leurs établissements et leurs emplois, certains restaurateurs profitent de cette période morose pour développer des concepts toujours plus inventifs. Après la vente à emporter, la tendance est au service en camping-car. Il est 17 heures aux Reussilles (canton de Berne) lorsque les premiers camping-cars arrivent sur le parking du restaurant La Clef. Comme d’autres depuis quelques semaines, ils ont réservé leur place et viennent de toute la Suisse pour déguster le menu proposé par Diego Albanese et son épouse, confortablement installés dans leurs véhicules. «C’est génial!», nous dit ce Genevois, «on découvre des régions où on ne serait probablement jamais venu autrement». Pour ses voisins venus des bords du lac de Bienne (canton de Berne), la démarche se veut aussi solidaire: «On a l’impression de les aider un peu». Venu d’Allemagne et de…

Les structures pénitentiaires

Les structures pénitentiaires

>> Voir la carte des structures de l’administration pénitentiaire 2017
Les directions interrégionales

Les neuf directions interrégionales et la mission des départements et territoires d’outre-mer animent, contrôlent et coordonnent l’activité des établissements pénitentiaires et des services pénitentiaires d’insertion et de probation placés sous leur autorité.

Les établissements pénitentiaires

> Consulter la page de présentation de chaque prison

Il existe plusieurs types d’établissements pénitentiaires, ou prisons, selon le régime de détention et les catégories de condamnation.

Les 188 établissements (dont 58 à gestion déléguée) sont classés en deux grandes catégories : maisons d’arrêt et établissements pour peine.

Les maisons d’arrêt

Au nombre de 86, elles reçoivent les personnes prévenues en détention provisoire (personnes détenues en attente de jugement ou dont la condamnation n’est pas définitive) ainsi que les personnes condamnées dont la peine ou le reliquat de peine n’excède pas deux ans.

Les établissements pour peine

Au nombre de 94, ils sont divisés en maisons centrales (6), centres de détention (27), centres de semi-liberté (11), en fonction du type de population pénale qu’ils accueillent. Les centres pénitentiaires (50), établissements mixtes, comprennent au moins deux quartiers différents (maison d’arrêt, centre de détention et/ou maison centrale). On compte 6 établissements pénitentiaires pour mineurs et 1 établissement public de santé national de Fresnes (EPSNF)

 

Les maisons centrales accueillent les personnes détenues condamnées à une longue peine et/ou présentant des risques. Le régime de détention de ces prisons est essentiellement axé sur la sécurité.

Les centres de détention accueillent des personnes détenues condamnées à une peine supérieure à deux ans et qui présentent les meilleures perspectives de réinsertion sociale. A ce titre, les centres de détention ont un régime de détention principalement orienté vers la resocialisation des personnes détenues.

Les centre de semi-liberté reçoivent des personnes condamnées admises au régime du placement extérieur ou de la semi-liberté. La personne condamnée détenue peut s’absenter de l’établissement durant la journée pour exercer une activité professionnelle, suivre un enseignement ou une formation, bénéficier d’un traitement médical ou s’investir dans tout autre projet d’insertion ou de réinsertion de nature à prévenir les risques de récidive.

Les quartiers centres pour peines aménagées peuvent recevoir les personnes condamnées bénéficiant d’une mesure de semi-liberté ou d’un placement à l’extérieur ainsi que les personnes condamnées dont le reliquat de peine est inférieur à un an, afin de leur permettre de concrétiser un projet de réinsertion.

Les services pénitentiaires d’insertion et de probation (SPIP)

> Consulter la page de présentation de chaque SPIP

Le service pénitentiaire d’insertion et de probation est un service à compétence départementale. Il intervient  à la fois en milieu ouvert et en milieu fermé, auprès des personnes incarcérées (prévenues ou condamnées) et sur saisine des autorités judiciaires pour les mesures alternatives aux poursuites, présentencielles et postsentencielles.

La mission essentielle des SPIP est la prévention de la récidive à travers :

–          l’aide à la décision judiciaire et l’individualisation des peines

–          la lutte contre la désocialisation

–          la (ré)insertion des personnes placées sous main de justice

–          le suivi et le contrôle de leurs obligations.

Il existe 103 SPIP.

>> Consulter la brochure « Le service pénitentiaire d’insertion et de probation (SPIP) Mission : prévenir la récidive »

>> Voir les chiffres clés 2015

La Suisse et l’Azerbaïdjan: pas de corruption, mais de la coopération

L’Azerbaïdjan a utilisé la «diplomatie du caviar» pour s’acheter les faveurs de parlementaires européens. Cela n’a pas été nécessaire en Suisse, car les deux pays avaient des intérêts stratégiques communs. En Allemagne, des personnalités politiques conservatrices de la CDU/CSU sont dans la tourmente pour avoir reçu de généreux cadeaux ou des sommes d’argent de l’Azerbaïdjan. Le scandale n’est en fait pas nouveau: cette question avait déjà fait les gros titres en 2012, lorsque le groupe de réflexion «European Stability Initiative» avait révélé comment l’Azerbaïdjan avait corrompu des parlementaires du Conseil de l’Europe. Lesquels avaient, en retour, pris parti pour le pays dans le Caucase. Le procédé avait alors été surnommé «diplomatie du caviar». Des cas de corruption n’ont cessé d’être révélés depuis, plusieurs élus et élues d’autres pays européens s’étant également volontiers laissés amadouer par l’Azerbaïdjan. En Italie et en Espagne, notamment, des procédures sont en cours…

Le pari aventureux d’Éric Dupond-Moretti sur les réductions de peine

La suppression des crédits automatiques de réduction de peine est l’une des mesures phares du projet de loi Dupond-Moretti. Une réforme qui suscite beaucoup d’interrogations. Va-t-elle complexifier inutilement le droit de l’exécution des peines et augmenter le nombre de détenus ? Le ministère de la Justice s’en défend. Mais son pari est hasardeux. Explications.

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