Cabinet Philippe ALLIAUME

Avocat à la Cour d'appel de Paris

Avec une Rolex au poignet, Joe Biden s’expose à la critique

Lors de son investiture, le nouveau président des États-Unis Joe Biden portait une Rolex. Le choix de cette marque de montre devenue symbole de luxe, voire d’ostentation, a suscité des critiques dans les médias nationaux et internationaux. Mais il n’est pas le premier puissant de ce monde à provoquer une polémique pour ses choix horlogers. Le 20 janvier, Joe Biden prêtait serment à Washington, devenant ainsi le 46e président des États-Unis. Il l’a fait en posant sa main gauche sur la bible familiale. Les observateurs attentifs de cette scène diffusée sur les télévisions du monde entier ont alors remarqué qu’au-dessus de cette main, c’était une montre suisse qui entourait le poignet présidentiel. Plus précisément une Rolex Datejust en acier de couleur bleue. Les montres des présidents Le choix de cette montre a été largement commenté. Dans les forums des passionnés d’horlogerie, bien sûr, mais pas seulement. Des médias prestigieux s’en sont aussi fait l’écho. C’est ainsi que dans…

Lutte contre la corruption: la Suisse peut faire encore mieux, estime Transparency International

La Suisse est l’un des pays où la corruption perçue dans le secteur public est la plus faible, mais elle a encore de nombreux points à améliorer, notamment en ce qui concerne le poids des lobbys au Parlement, avertit l’organisation Transparency International. La Suisse est habituée à figurer parmi les bons élèves de l’indice de perception de la corruption dans le secteur public («Corruption Perception Index», ou CPI) établi chaque année par l’organisation de lutte contre la corruption Transparency International. Le classement 2020, rendu public jeudi, ne fait pas exception. La Confédération arrive en troisième position avec 85 points sur 100 (le même score qu’en 2019), à égalité avec la Finlande, la Suède et Singapour. En tête, le Danemark et la Nouvelle-Zélande obtiennent 88 points. Une mesure de la corruption perçue dans 180 pays Créé en 1995, l’indice de perception de la corruption de Transparency International porte actuellement sur 180 pays. Il s’appuie sur une…

Lancement du programme Services Publics +

Le Ministère de la Transformation et de la Fonction Publiques (MFTP) et la Délégation Interministérielle pour la Transformation Publique (DITP) lancent « Services Publics + ».

Lancement du programme Services Publics +

Lancement du programme Services Publics +

 

Ce nouveau programme d’amélioration continue des services publics, centré sur l’expérience usager, a vocation à répondre aux attentes des Français en termes de qualité de services, de simplification et d’écoute.

Il regroupe sous une même dénomination « Service Public + », les engagements Marianne réajustés aux nouvelles exigences des citoyens, le programme Transparence sur la qualité et l’efficacité des services publics, ainsi que la plateforme voxusagers.

Dans cette optique de simplification, la DITP a annoncé la mise en ligne prochaine, d’une plateforme collaborative qui rassemblera en un point d’entrée unique,  tous les outils d’écoute usagers, de consultation des résultats ou d’auto-évaluation des services publics.

Pour de plus amples renseignements, n’hésitez pas à consulter le site de la DITP https://www.modernisation.gouv.fr  ou connectez-vous sur service-public.fr.

 

 

DIAV/Violences psychologiques sur mineurs

Un groupe de travail portant sur les «  violences psychologiques sur mineurs  » a été installé par Adrien TAQUET, secrétaire d’Etat chargé de la protection de l’enfance, dans les locaux du ministère de la santé, le vendredi 22 janvier 2021.Maître Yaël MELLUL, avocate pénaliste spécialisée, a été missionnée pour diriger les travaux de ce groupe de travail, animer les débats et formuler des propositions concrètes afin de lutter contre ce phénomène de masse qui touche particulièrement les enfants et laisse des séquelles durables chez les adultes. 

DIAV/Violences psychologiques sur mineursFrédérique CALANDRA, déléguée interministérielle à l’aide aux victimes, était présente à leurs côtéspour cette première rencontre, ainsi que plusieurs partenaires institutionnels et associatifs en présentiel et envisioconférence.

Ce groupe de travail a pour objectifs de dresser un état des lieux de la problématique, d’évaluer les conséquences des violences psychologiques sur mineurs et d’en dégager des perspectives en matière législative et en termes d’accompagnement médico-psycho-social. 

Lors de  cette première séance, a été abordée la question du repérage de ces situations de violences qui se caractérisent par leur  invisibilité, et de la difficulté de disposer de  données statistiques suffisantes permettant de saisir l’ampleur et les ressorts de ces violences, qu’il s’agisse de la sphère familiale ou institutionnelle (tel que par exemple l’école ou les structures d’accueil destinés aux enfants en situation de handicap), ou de  harcèlement scolaire  et via les réseaux  sociaux.  La notion d’emprise sera une notion-clé à mettre en lumière afin de saisir ces différents contextes où se mettent en place ce type de violences.  Ce travail de concertation pourrait notamment  tirer des enseignements, voire s’inspirer des pistes évoquées sur le terrain des violences conjugales afin de considérer comme victime à part entière les enfants exposés à la violence au sein du couple, ou encore d’envisager le  suicide forcé comme circonstance aggravante des violences commises  ou  la création d’un délit  de harcèlement moral spécifique envers les enfants.

La délégation interministérielle sera particulièrement attentive aux auditions et échanges qui porteront notamment sur la  prise en charge du  psychotraumatisme  des enfants victimes de ces violences.  La mobilisation des comités locaux d’aide aux victimes (CLAV) pourrait également  être un relais efficace, au sein des territoires,  pour décliner la stratégie d’aide aux  mineurs  victimes de violences psychologiques et améliorer ainsi les bonnes pratiques  professionnelles.

En politique suisse, les femmes sont encore loin du but

Cinquante ans après avoir obtenu le droit de vote, les femmes suisses sont mieux représentées que jamais au Parlement fédéral. Mais ce succès est trompeur. Au niveau local, les choses n’avancent que lentement. Le 7 février 1971, les hommes suisses décident, par vote populaire, que les femmes peuvent aussi avoir leur mot à dire dans la politique du pays. Les élections fédérales du 31 octobre 1971 sont les premières auxquelles les femmes peuvent participer, comme électrices et comme candidates. Onze d’entre elles sont élues au Conseil national, ce qui représente 5,5% des effectifs de la Chambre basse. À la Chambre haute, une seule de 42 conseillers aux États est une conseillère. Comment les choses ont-elles évolué depuis cette date? En 50 ans, les femmes ont-elles réussi à se faire une place en politique? La série de swissinfo.ch sur les 50 ans du droit de vote des femmes Les femmes suisses ont le droit de vote au niveau fédéral depuis le 7 février 1971. La Suisse a ainsi été l’un…