Cabinet Philippe Alliaume

Les agricultrices et agriculteurs produisent de moins en moins de semences pour cultiver la pomme de terre, dont la production est exigeante. Où se situent les problèmes et quelles solutions existent? Simon Pfister se tient sur une grande récolteuse rouge. Actuellement, elle est à l’arrêt. Chaque année en août, il la conduit dans ses champs du Seeland. Elle lui sert à sortir du sol les plants de pommes de terre, qui constituent les semences du tubercule. Lors de la récolte, les plants de pommes de terre sont débarrassés de la terre et des pierres et atterrissent dans une trémie à l’avant du véhicule. Ces trois dernières années, cette trémie ne se remplit plus autant qu’avant. Les changements climatiques se font sentir Les conditions météorologiques des trois dernières années ont été mauvaises pour la production de plants de pommes de terre. «L’année dernière, la pluie a manqué au bon moment», explique Simon Pfister. Les années précédentes, le temps était trop humide ou trop chaud …

Les agricultrices et agriculteurs produisent de moins en moins de semences pour cultiver la pomme de terre, dont la production est exigeante. Où se situent les problèmes et quelles solutions existent? Simon Pfister se tient sur une grande récolteuse rouge. Actuellement, elle est à l’arrêt. Chaque année en août, il la conduit dans ses champs du Seeland. Elle lui sert à sortir du sol les plants de pommes de terre, qui constituent les semences du tubercule. Lors de la récolte, les plants de pommes de terre sont débarrassés de la terre et des pierres et atterrissent dans une trémie à l’avant du véhicule. Ces trois dernières années, cette trémie ne se remplit plus autant qu’avant. Les changements climatiques se font sentir Les conditions météorologiques des trois dernières années ont été mauvaises pour la production de plants de pommes de terre. «L’année dernière, la pluie a manqué au bon moment», explique Simon Pfister. Les années précédentes, le temps était trop humide ou trop…

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Pour le directeur du Centre de politique de sécurité à Genève et ancien diplomate Thomas Greminger, un processus constructif engageant des États, mais aussi des groupes non étatiques est la clef pour résoudre des conflits toujours plus complexes. Il s’en explique à swissinfo.ch. Fort de sa longue expérience de négociateur qui l’a conduit à mener des pourparlers avec des groupes comme le Hamas par exemple, Thomas Greminger évoque les défis, mais aussi les opportunités de s’engager en faveur de pourparlers de paix. Non seulement avec des États, mais également en prenant langue avec des organisations non étatiques. Ex-diplomate aujourd’hui à la tête du Geneva Center for Security Policy (GCSP), Thomas Greminger a dirigé par le passé aussi l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE). Selon lui, la Suisse a encore toutes les cartes en main pour aider à la résolution de conflits. swissinfo.ch: En tant que diplomate, vous aviez pu négocier au début des années 2000 …