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Avocats : lancement de la 2e édition de la semaine de la francophonie

À l’occasion de la deuxième édition de la Semaine de la francophonie, du 22 au 26 mars 2021, l’ensemble des barreaux et des avocats francophones sont invités à célébrer la francophonie en organisant une opération commune. Celle-ci vise à promouvoir le droit dans les collèges et les lycées francophones du monde entier.

Lors de cette Fête du droit et des avocats dans la francophonie, lancée par le Conseil national des barreaux (CNB), des avocats francophones iront, de manière bénévole, à la rencontre des élèves dans les collèges des pays francophones et des lycées français et classes de français des pays non francophones pour les sensibiliser au rôle des avocats et à l’importance du droit dans nos sociétés et dans leur quotidien.

Les avocats engageront le dialogue avec les élèves autour du thème des libertés : Que pensez-vous de ce qui s’est passé le 16 octobre dernier (assassinat du professeur Samuel Paty) ? Est-ce que le professeur était libre de faire étudier les caricatures ? Est-ce que les réactions sur les réseaux sociaux vous semblent appropriées ? Citez les libertés qui sont importantes à vos yeux.

Le Président du CNB, Jérôme Gavaudan, interviendra également en visio dans deux lycées français à l’étranger :

– Au lycée français de Meknès (Maroc) le mercredi 24 mars 

– Au lycée français du Salvador le vendredi 26 mars 

Avocats et établissement scolaire : cliquez-ici pour vous inscrire

Pertes d’exploitation : condamnation de l’assureur pour résistance abusive

Les dispositions du contrat d’assurance qui prennent en compte la « fermeture de l’établissement sur l’ordre des autorités administratives lorsqu’elle est motivée par la seule survenance effective des événements suivants : (…) de maladie contagieuse et d’épidémie » supposent à l’évidence l’indemnisation des pertes d’exploitation générées par les confinements ainsi que celles générées par la fermeture administrative des restaurants.

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Autorité de chose jugée d’une transaction : un petit gout de revenez-y…

Selon les articles 1103 et 2052 du code civil, la réparation du dommage est définitivement fixée à la date à laquelle une transaction est intervenue, celle-ci faisant obstacle à l’introduction ou à la poursuite entre les parties d’une action en justice ayant le même objet. En procédant à une nouvelle évaluation des besoins de la victime sans tenir compte de la transaction, la cour d’appel a méconnu l’autorité de la chose jugée y étant attachée.

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Découpage en établissements distincts et saisine de l’autorité administrative par une section syndicale

Lorsque la Direccte a été saisie par des sections syndicales dépourvues de la personnalité morale pour fixer le nombre et le périmètre des établissements distincts d’une entreprise, le juge judiciaire qui annule la décision de l’autorité administrative ne peut pas s’y substituer pour statuer à nouveau sur ce nombre et ce périmètre.

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