« Au commissariat, je ne sais pas ce qu’il s’est passé, c’est devenu un enfer »

Devant une cour d’appel, les mots lâchés par un prévenu en garde à vue, plusieurs années auparavant, ne font souvent que « colorer le dossier ». Mais parfois, ils occupent une place telle qu’ils font passer les faits eux-mêmes au second plan. Illustration devant celle de Paris.

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