Pas toujours facile de collaborer entre mini-ONGs au niveau international

Internet et les réseaux sociaux permettent aux gens du Sud et du Nord d’entrer rapidement et facilement en contact. Mais travailler ensemble pour l’aide au développement est une tâche exigeante. Les méthodes de travail et les idées ne sont pas toujours compatibles, comme le montre l’exemple d’une collaboration helvético-ougandaise. Tout avait pourtant si bien commencé. La Suissesse Brigit Koch et son partenaire Anthony Powell, un Britannique originaire des Caraïbes, ont initié avec leurs propres économies l’«Association des donateurs d’empowermefirst.college», active à l’échelle mondiale, qui doit permettre aux jeunes d’obtenir un diplôme de fin d’études secondaires II via un smartphone. >> Anthony Powell et Brigit Koch parlent de leur engagement (vidéo des débuts de l’Association, en anglais) Sur les réseaux sociaux, le couple a fait la connaissance d’Aggrey Bwaita, un jeune Ougandais qui veut autonomiser les jeunes et les inciter à s’engager bénévolement pour leur communauté…