Comment l’activité des compagnies privées de sécurité est encadrée depuis la Suisse

De plus en plus de mercenaires privés s’ajoutent aux soldats sur les champs de bataille. En promouvant un code de conduite, la Suisse veut faire respecter le droit international. C’est avec vif intérêt que Jamie Williamson a pris récemment connaissance, au cœur de la Genève internationale, de nouveaux détails sur la façon utilisée par le groupe de mercenaires Wagner pour recruter des prisonniers et perpétrer de potentiels crimes de guerre. Des détails révélés après la défection d’une de ses recrues, en janvier, en Norvège. Milice dirigée par un oligarque, Wagner complète les rangs de l’armée russe en Ukraine, étant présent en Afrique aussi. Voici un parmi les exemples d’une privatisation devenue aujourd’hui rampante de la guerre par des compagnies privées de sécurité. Mais comme les données divergent entre les experts, il est difficile de savoir exactement combien de personnes sont actuellement recrutées et quelles sommes sont englouties. Selon le service d’analyse de données…