Trois clics et l’aide tant attendue pour faire le ménage apparaît à la porte. C’est la promesse d’une start-up créée il y a à peine six ans, mais qui aujourd’hui fournit déjà du travail à deux mille personnes en Suisse. Un changement de stratégie a par ailleurs permis de répondre aux critiques d’«uberisation». Une semaine de travail s’est écoulée. L’appartement est en pagaille, la poussière s’accumule partout et la cuisine est grasse. Dans la salle de bains, les vêtements s’empilent dans un coin et le sol est plein de taches et de cheveux. Se réveiller le samedi matin peut être un cauchemar pour beaucoup, à moins qu’ils n’appellent batmaid.ch. Fondée en 2014 par Andreas Schollin-Borg et Éric Laudet, cette start-up tire son nom du super héros de bande dessinée Batman. L’idée est née alors que Andreas Schollin-Borg vivait à New York et avait besoin de nettoyer rapidement l’appartement qu’il occupait. Il a alors cherché de l’aide sur le site handy.com. Une femme de ménage est arrivée…
La cuisinière suisse Betty Bossi, personnage imaginaire, a fait un carton pendant le confinement lié au coronavirus. Cette année, Betty Bossi a presque pris l’ampleur d’une figure comme Helvetia. Pendant la pandémie de coronavirus, elle n’a pas laissé tomber les Suisses. Quand ceux-ci, privés de restaurant, ont dû se confiner derrière leurs fourneaux, Betty Bossi a réagi. Elle a donné gratuitement accès aux fiches numériques – d’ordinaire payantes – tirées de ses 120 livres de cuisine et de pâtisserie, et a montré aux citoyens comment rôtir des burgers et confectionner du pain aux bananes. Avec des recettes garanties inratables, comme toujours. Et cela a fonctionné. Une fois de plus. Son site web a enregistré plus de dix millions de visites. En un mois. Betty Bossi et Helvetia ont un point commun: aucune des deux n’a d’existence réelle. Et pourtant, ce sont des figures suisses charistamtiques dont chacun se sent proche: Helvetia, armée de son javelot, se tient au verso des pièces…
L’écrivain mozambicain Mia Couto, qui a remporté la dernière édition du prix littéraire suisse Jan Michalski, garde de la présence suisse en Afrique un souvenir positif, de «respect pour la différence». L’auteur est isolé dans la maison à Maputo, depuis qu’il a été testé positif au Covid-19. L’année n’a pas bien commencé pour Mia Couto. L’écrivain mozambicain a été testé positif au Covid-19 une semaine avant l’interview accordée à swissinfo.ch, à distance depuis son domicile à Maputo, la capitale du Mozambique. Il ne présentait pas de difficultés respiratoires ni d’autres symptômes graves, se plaignant seulement de douleurs dans le corps, de fatigue et de peur. «Je suis dans un film. Et ce n’est pas un bon film», dit-il. Dans cette interview, Mia Couto (né en 1955) parle d’un thème central de son œuvre: l’importance de la langue. Et il rappelle le rôle central que les missionnaires suisses ont joué dans la préservation des langues indigènes au Mozambique. Fils d’immigrés…
Vendredi, les avocats ont plaidé en défense des huit prévenus, dont six policiers de la Bac du XVIIIe, devant la 16e chambre correctionnelle du tribunal judiciaire de Paris. Le jugement est mis en délibéré au 22 février.
Voici la moins connectée (et la plus suisse) des Apple Watch
NOUVEAUTÉ – La maison H. Moser & Cie propose une «mise à jour» horlogère de sa montre mécanique forgée pour se moquer, avec le sourire, de la célèbre smart watch de Cupertino.Par Judikael HirelPublié le 10/02/2021 à 18:50, mis à jour le 10/02/2021 à 18:50
Il n’y a pas que les montres connectées dans la vie. Et une marque suisse peut aussi avoir de l’humour. Une fois posées ces deux vérités fondamentales, place à la dernière incarnation en date de la plus déconnectée des smart watches, la Swiss Alp Watch signée H. Moser & Cie. Toujours en pointe pour faire parler d’elle, pour décevoir en bien comme l’on dit si bien de l’autre côté de la frontière, la marque avait fait le buzz en 2016 en dévoilant cette pièce résolument horlogère au vrai faux air de création connectée de Cupertino. Car cette Swiss Alp Watch résolument Swiss Made en reprenait les lignes tout en gardant son âme mécanique.
Cinq après, la voici de retour pour une mise à jour finale, promet la marque. «Aucune mise à jour requise, aucun câble de recharge, aucune fonctionnalité inutile, aucune notification ennuyeuse, juste le seul rappel dont vous ayez vraiment besoin: vous déconnecter de tout le bruit et chérir chaque instant.» Cette nouvelle version baptisée Final Upgrade joue la modernité discrète avec un boîtier en acier DLC noir associé à un cadran high tech en Vantablack, au rendu digne du cœur d’un trou noir: cette matière constituée de millions de nanotubes de carbone absorbe 99,965% de la lumière. À cela s’ajoutent deux aiguilles noires, et surtout la dernière moquerie horlogère en date de la marque: en lieu et place d’une trotteuse, un disque des secondes ombré reprenant la forme d’une animation de chargement éternel. Ou comment rappeler habilement la dimension frustrante d’une montre connectée…about:blankhttps://acdn.adnxs.com/dmp/async_usersync.html
Cette Swiss Alp Watch Final Upgrade produite à seulement 50 exemplaires embarque un mouvement mécanique HMC 324 à remontage manuel doté de 96 heures de réserve de marche. Si vous voulez déconnecter en toute sobriété, comptez tout de même environ 30000 € pour vous l’offrir.