Extrait : Peut-être était-il assis dans la sacristie lorsqu’il prit sa décision. Entre des murs nus, là où, quelques mois auparavant, brillait encore la lumière dorée des reliques. Peut-être était-ce la nuit. Peut-être entendait-il dehors le vent, le grincement des poutres. Et il savait : si lui, Hansli Benet, ne le faisait pas, personne ne le ferait. Les crânes devaient disparaître. Zurich en plein bouleversement Que la situation en arrive là n’était pas surprenant. Zurich, en 1524, est à l’aube d’une nouvelle ère. Le réformateur Huldrych Zwingli prêche contre les images, les autels, les reliques – contre tout ce qui, pendant des siècles, avait été considéré comme l’expression du christianisme. La nouvelle foi n’a besoin ni d’ossements ni d’icônes, seulement de la parole. Et le conseil de la ville le suit. Les autels sont enlevés, les tableaux décrochés, les reliquaires vidés. Même la cathédrale Grossmünster n’est pas épargnée. C’est là que reposent, depuis des siècles, les reliques de …
Il n’est pas suffisant pour un assuré social d’être affilié ; il faut encore qu’il atteste avoir « chargé » suffisamment de droits à indemnités journalières.
Le juge judiciaire ne peut, sans violer le principe de séparation des pouvoirs, en l’état d’une autorisation administrative de licenciement devenue définitive, apprécier le caractère réel et sérieux du motif de licenciement au regard de la cause économique ou du respect par l’employeur de son obligation de reclassement.
Doit dès lors être approuvé l’arrêt qui, après avoir constaté que l’autorité administrative avait autorisé le licenciement pour motif économique des salariés, après avoir examiné la réalité du motif économique, le respect des obligations légales et conventionnelles de reclassement interne et externe, y compris la saisine de la commission nationale paritaire de l’emploi, et après avoir constaté que l’employeur avait respecté son obligation de reclassement, en déduit que la cour d’appel ne pouvait se prononcer sur la cause réelle et sérieuse du licenciement et sur les demandes indemnitaires présentées par les salariés, y compris au titre d’une absence du caractère sérieux des recherches de reclassement externe.
Extrait : Les logements sont une denrée rare en Suisse, en particulier en ville pour les étudiantes et étudiants. En parallèle, de nombreuses personnes âgées vivent seules dans de grands appartements. Le projet « Wohnen für Hilfe » (en français «Un logement en échange de services») rapproche ces deux mondes. La personne qui met une chambre à disposition reçoit de l’aide au quotidien et, souvent, une véritable relation se développe au-delà d’un simple arrangement pratique. Andrea Ziegler, 62 ans, est assistante sociale chez Pro Senectute dans le canton de Zurich. Elle s’occupe du programme «Wohnen für Hilfe» depuis neuf ans. SRF: Qui participe à «Wohnen für Hilfe»? Andrea Ziegler: Chez les étudiantes et étudiants, ce sont des jeunes ouverts, conscients qu’il faut donner un coup de main. Du côté des personnes âgées, il s’agit généralement de personnes bien instruites vivant dans de grands appartements ou maisons. Elles sont prêtes à partager leur espace et à s’ouvrir à la jeunesse. Comment les …
Extrait : La transition énergétique alimente la demande pour des minerais cruciaux, ce qui met à rude épreuve la transparence des chaînes d’approvisionnement. Un rapport de l’ONU avertit que les minerais issus de la République démocratique du Congo (RDC) et utilisés pour financer la guerre atterrissent illégalement sur le marché mondial. Des minéraux cruciaux, nécessaires aux énergies renouvelables, tels que le coltan ou le tantale, un métal issu du coltan, sont présents dans la plupart de nos outils électroniques, comme les téléphones portables ou les ordinateurs. On les retrouve aussi dans les batteries des véhicules électriques. Leur utilisation a bondi du fait de la transition énergétique et le recours grandissant aux éoliennes et au solaire dans le mix énergétique mondial. L’Agence internationale de l’énergie (AIE) estime que la demande devrait doubler entre 2024 et 2030 et dit qu’elle pourrait même tripler ou quadrupler d’ici cette date si les pays atteignent leurs objectifs …
Seul le non-respect du délai de dix jours francs ouvert pour consulter le dossier et formuler des observations permet à l’employeur de prétendre à l’inopposabilité de la décision de prise en charge d’une CPAM.
La demande tendant à requalifier le contrat de travail à temps partiel en temps complet, en ce qu’elle vise à obtenir le paiement de rappels de salaire, n’est pas indéterminée. En outre, le remboursement des frais professionnels engagés par un salarié requiert la preuve des justificatifs des dépenses.
Neuchâtel : un enclos 7 fils, rempart efficace face à la meute de la Brévine
Dans les montagnes neuchâteloises, la présence de la meute de la Brévine est aujourd’hui une réalité.
La cohabitation entre loups et bétail n’est possible que grâce à des mesures de protection solides, financées en partie par l’argent public et soutenues par des éleveurs engagés.
Cet enclos électrique à 7 fils, soigneusement entretenu, illustre la bonne pratique :
Protection jour et nuit : le courant reste activé en permanence, car un loup n’attend pas le lever du jour pour s’approcher.
Tension suffisante : au moins 4 000 à 5 000 volts pour un effet réellement dissuasif.
Surveillance régulière : contrôle de la végétation, des isolateurs et des portillons, souvent les points faibles.
Dans un contexte où les tirs de régulation sont parfois présentés comme la seule réponse, cet exemple prouve qu’une coexistence intelligente est possible.
À Neuchâtel comme ailleurs, continuons à exiger que ces solutions de protection soient généralisées plutôt que de céder à la facilité des abattages.
Protéger le bétail, c’est protéger la biodiversité et montrer qu’un autre choix de société est possible
Toutes les réactions :
Neuchâtel : un enclos 7 fils, rempart efficace face à la meute de la Brévine
Dans les montagnes neuchâteloises, la présence de la meute de la Brévine est aujourd’hui une réalité.
La cohabitation entre loups et bétail n’est possible que grâce à des mesures de protection solides, financées en partie par l’argent public et soutenues par des éleveurs engagés.
Cet enclos électrique à 7 fils, soigneusement entretenu, illustre la bonne pratique :
Protection jour et nuit : le courant reste activé en permanence, car un loup n’attend pas le lever du jour pour s’approcher.
Tension suffisante : au moins 4 000 à 5 000 volts pour un effet réellement dissuasif.
Surveillance régulière : contrôle de la végétation, des isolateurs et des portillons, souvent les points faibles.
Dans un contexte où les tirs de régulation sont parfois présentés comme la seule réponse, cet exemple prouve qu’une coexistence intelligente est possible.
À Neuchâtel comme ailleurs, continuons à exiger que ces solutions de protection soient généralisées plutôt que de céder à la facilité des abattages.
Protéger le bétail, c’est protéger la biodiversité et montrer qu’un autre choix de société est possible
Toutes les réactions :
Neuchâtel : un enclos 7 fils, rempart efficace face à la meute de la Brévine
Dans les montagnes neuchâteloises, la présence de la meute de la Brévine est aujourd’hui une réalité.
La cohabitation entre loups et bétail n’est possible que grâce à des mesures de protection solides, financées en partie par l’argent public et soutenues par des éleveurs engagés.
Cet enclos électrique à 7 fils, soigneusement entretenu, illustre la bonne pratique :
Protection jour et nuit : le courant reste activé en permanence, car un loup n’attend pas le lever du jour pour s’approcher.
Tension suffisante : au moins 4 000 à 5 000 volts pour un effet réellement dissuasif.
Surveillance régulière : contrôle de la végétation, des isolateurs et des portillons, souvent les points faibles.
Dans un contexte où les tirs de régulation sont parfois présentés comme la seule réponse, cet exemple prouve qu’une coexistence intelligente est possible.
À Neuchâtel comme ailleurs, continuons à exiger que ces solutions de protection soient généralisées plutôt que de céder à la facilité des abattages.
Protéger le bétail, c’est protéger la biodiversité et montrer qu’un autre choix de société est possible