Arrêt n°235 du 2 mars 2021 (20-85.491) – Cour de cassation – Chambre criminelle – ECLI:FR:CCAS:2021:CR00235 – Garde à vue – Droits de la défense
Garde à vue – Droits de la défense
Avocat à la Cour d'appel de Paris et Ingénieur Ecole Centrale des Arts et Manufactures
Les robots supplanteront-ils les professeurs? Que ce soit en classe ou à travers l’enseignement à distance, les experts y voient un énorme potentiel, mais également un danger si les machines deviennent trop humaines. «Bonjour tout le monde, je suis Lexi.» Par ces mots, un robot humanoïde salue les étudiants de l’Université de Saint-Gall. L’intérêt est grand. La salle de conférence est bondée. Sabine Seufert, professeure en management et innovations pédagogiques à l’Université de Saint-Gall, a utilisé le robot dans ses cours pour la première fois en 2019, à titre d’essai. «Lexi», doté d’une intelligence artificielle, était déjà capable d’effectuer des tâches auxiliaires simples. L’Université est actuellement à la recherche de nouvelles applications. Pour sa part, «Thymio» ne semble, en revanche, pas du tout humain, si ce n’est qu’il est capable d’apprendre. Avec ce mini-robot, les enfants de toute la Suisse apprennent déjà la programmation. Ils peuvent voir aussitôt un résultat…
La chercheuse zurichoise Karin Schwiter étudie depuis plusieurs années la migration des aides à domicile de l’Est vers l’Ouest de l’Europe. Elle espère que la pandémie conduira à une prise de conscience de la précarité de leurs conditions de travail et à une remise en cause de l’ensemble du système de prise en charge des personnes âgées. Les travailleuses migrantes ont été particulièrement touchées par les fermetures de frontières liées à la pandémie de coronavirus. Parmi elles figurent les aides à domicile qui s’occupent des personnes âgées. Karin Schwiter s’intéresse depuis plusieurs années à ces employées. Elle est responsable d’un groupe de recherche au Département de géographie de l’Université de Zurich et participe à l’étude «Decent care work? Transnational Home Care Arrangements» soutenue par le Fonds national suisse de la recherche scientifique. Ce projet réunit des chercheurs en Allemagne, en Autriche et en Suisse. Il vise à mieux comprendre comment les employées sont…
L’autocrate biélorusse Alexandre Loukachenko ne se maintient au pouvoir qu’avec l’appui de la Russie. Indéfiniment? Spécialiste au Center for Security Studies de l’École polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ), Benno Zogg y va de son pronostic. Imposantes manifestations ou non, le président biélorusse Alexandre Loukachenko s’accroche au pouvoir par la force. Mais, selon le chercheur de l’EPFZ Benno Zogg, un changement politique est devenu inévitable. swissinfo.ch: Dans un papier scientifique, vous esquissez trois scénarios de l’évolution possible en Biélorussie ces cinq prochaines années. Benno Zogg: Exactement, je vois trois scénarios possibles. Une révolution dirigée, une dictature ou une phase de transition dirigée. Ce qui veut dire? Dans le cas de la révolution dirigée, la principale exigence des manifestants serait satisfaite, Loukachenko étant chassé du pouvoir. Mais la révolution a deux visages possibles. Soit les forces de sécurité l’emportent, soit — et d’un point de…
Le Contrôleur européen de la protection des données salue l’engagement des parties d’assurer un niveau élevé de protection des données à caractère personnel. Il estime cependant que certains points de négociation doivent rester exceptionnels compte tenu du statut particulier du Royaume-Uni et en aucun cas devenir la règle dans les futures négociations commerciales de l’UE avec des pays tiers.
La 32e chambre du tribunal correctionnel a condamné lundi Nicolas Sarkozy, Thierry Herzog et Gilbert Azibert à trois ans d’emprisonnement, dont deux avec sursis simple. Les trois hommes étaient poursuivis notamment pour corruption et trafic d’influence, et violation du secret professionnel pour les deux derniers.
Dans un avis du 19 février, le Conseil d’État précise la portée de la liaison du contentieux en matière extracontractuelle.
Le jugement rendu le 18 février 2021 est l’occasion de rappeler l’adage latin Ubi lex non distinguit, nec nos distingueredebemus. Il sanctionne un arrêté préfectoral pour avoir instituer une obligation de dématérialisation non prévue par la loi pour les demandes de titre de séjour.
Par trois arrêtés du 24 février 2021, Brest, Clermont Métropole et la région stéphanoise se dotent d’un observatoire local des loyers agréé. Au total, près de 350 communes sont concernées.