Catégorie : Ministère

50 000 personnes condamnées et en prison fin 2021

Au 31 décembre 2021, près de 82 000 personnes étaient écrouées en France. Elles se distinguent en trois catégories. Les condamnés incarcérés (61 %), les prévenus en détention provisoire (23 %) et les condamnés qui exécutent leur peine en dehors d’un établissement pénitentiaire dans le cadre d’un aménagement de peine (16 %). Dans ce dernier groupe, les personnes sont en détention à domicile sous surveillance électronique ou en placement extérieur hébergées en dehors d’un
établissement pénitentiaire.
Fin 2021, près de 50 000 personnes condamnées et détenues dans un établissement pénitentiaire sont recensées. Elles sont majoritaires parmi les personnes écrouées et constituent le coeur de l’étude. Ce groupe est composé à 97 % d’hommes, plutôt jeunes, la moitié ayant moins de 33 ans. Les personnes condamnées incarcérées en France représentent 74 personnes pour 100 000 habitants.
Presque la moitié des personnes incarcérées (46 %) ont été condamnées pour une atteinte à la personne. Les condamnations pour un délit caractérisent trois condamnés incarcérés sur quatre. Sur l’ensemble des délits, les agressions et violences à caractère sexuel sur des mineurs sont le plus sévèrement condamnées : soit 4 ans ou plus pour la moitié des personnes condamnées. Pour les crimes, qui concernent un quart des personnes condamnées incarcérées, ce sont les homicides ou les atteintes volontaires ayant entraîné la mort qui se distinguent avec une peine ferme médiane de 18,5 années.
Enfin, parmi les personnes condamnées incarcérées libérées au cours de l’année 2021, plus des trois quarts (77 %) ont passé moins d’un an sous écrou.

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50 000 personnes condamnées et en prison fin 2021

Au 31 décembre 2021, près de 82 000 personnes étaient écrouées en France. Elles se distinguent en trois catégories. Les condamnés incarcérés (61 %), les prévenus en détention provisoire (23 %) et les condamnés qui exécutent leur peine en dehors d’un établissement pénitentiaire dans le cadre d’un aménagement de peine (16 %). Dans ce dernier groupe, les personnes sont en détention à domicile sous surveillance électronique ou en placement extérieur hébergées en dehors d’un
établissement pénitentiaire.
Fin 2021, près de 50 000 personnes condamnées et détenues dans un établissement pénitentiaire sont recensées. Elles sont majoritaires parmi les personnes écrouées et constituent le coeur de l’étude. Ce groupe est composé à 97 % d’hommes, plutôt jeunes, la moitié ayant moins de 33 ans. Les personnes condamnées incarcérées en France représentent 74 personnes pour 100 000 habitants.
Presque la moitié des personnes incarcérées (46 %) ont été condamnées pour une atteinte à la personne. Les condamnations pour un délit caractérisent trois condamnés incarcérés sur quatre. Sur l’ensemble des délits, les agressions et violences à caractère sexuel sur des mineurs sont le plus sévèrement condamnées : soit 4 ans ou plus pour la moitié des personnes condamnées. Pour les crimes, qui concernent un quart des personnes condamnées incarcérées, ce sont les homicides ou les atteintes volontaires ayant entraîné la mort qui se distinguent avec une peine ferme médiane de 18,5 années.
Enfin, parmi les personnes condamnées incarcérées libérées au cours de l’année 2021, plus des trois quarts (77 %) ont passé moins d’un an sous écrou.

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Recommandation du collège de déontologie n°1/2022

Conformément au 2° de l’article R. 721-20 du code de commerce, un collège de déontologie, placé auprès du Conseil national des tribunaux de commerce, est chargé de favoriser la bonne application des principes déontologiques inhérents à l’exercice des fonctions des juges des tribunaux de commerce.

Les différentes élections qui ont eu lieu au cours de l’année 2022 sont l’occasion pour le collège de rappeler que le juge consulaire doit, lorsqu’il choisit de s’engager en politique, rester attentif aux principes déontologiques qui doivent guider son action, afin de prévenir tout risque d’interférence avec son activité juridictionnelle.

Certains de ces principes sont énoncés par le recueil des obligations déontologiques du juge du tribunal de commerce, élaboré en 2018.

La recommandation, de portée générale et à visée pratique, a pour objectif d’éclairer les  juges  consulaires et de  les  sensibiliser  aux  problématiques  particulières  liées  à  leur participation à la vie politique et électorale, en les appelant à une grande vigilance.

À cet effet, vous retrouverez la recommandation 1/2022 rendue en application de l’article R. 721-20 du code de commerce, après délibération du collège de déontologie, dans sa séance du 24 novembre 2022.

 

 

Clôture de la 30e édition de Bulles en fureur

Le 8 décembre 2022, à l’occasion de la 30e édition de Bulles en fureur, les jeunes pris en charge par la protection judiciaire de la jeunesse ont vu leur bande dessinée favorite se faire récompenser par le prix littéraire André-Georges Hamon. Outil d’insertion et de lutte contre l’illettrisme, l’événement était de nouveau accueilli par la Cité internationale de la bande dessinée d’Angoulême.

 

L’événement Bulles en fureur permet aux jeunes pris en charge par la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) de se familiariser avec la lecture et l’écriture tout au long de l’année. Il représente un soutien pédagogique et favorise la création, l’imagination et l’échange en utilisant la bande dessinée et l’écriture comme supports à l’action éducative.

Les sélections pré-ados et ados abordent différents sujets de société. Partir à la découverte de ces bandes dessinées permet ainsi aux jeunes d’être sensibilisés à de multiples enjeux : les relations aux autres, le rapport à la loi, la santé ou la citoyenneté.

Bulles en fureur constitue aussi un moyen de prévention et de lutte contre l’illettrisme.

 

Cette journée a permis aux jeunes pris en charge par la PJJ de récompenser leurs deux BD favorites. Le prix littéraire André-Georges Hamon est décerné aux auteurs lauréats.

Les bandes dessinées primées pour cette édition 2022 sont :

« Raowl, la belle et l’affreux », de Tebo paru aux Éditions Dupuis (catégorie pré-ados)

« Mort et déterré », par Boisvert et Colon paru aux Éditions Dupuis (catégorie ados)

Un peu d’histoire…

Le dispositif Bulles en fureur a été lancé en 1992. André-Georges Hamon, un éducateur de la PJJ, et Alain Noblet, un libraire, ont imaginé un prix littéraire qui serait décerné par des adolescents à partir d’une sélection d’albums de bande dessinée.

De la 1re édition à celle de 2019, Bulles en fureur avait lieu à Rennes. Mais depuis 2020 et la reprise du dispositif par la direction interrégionale de la protection judiciaire de la jeunesse Sud-Ouest, c’est la Cité internationale de la bande dessinée et de l’image d’Angoulême qui accueille la manifestation.

Le ministère de la Culture, la ville d’Angoulême et la Cité internationale de la bande dessinée et de l’image soutiennent activement Bulles en fureur comme un événement culturel au service de l’insertion.

Un prix  pour les jeunes créateurs

Le prix « Jeunes créateurs » a également été remis, ce 8 décembre. Celui-ci permet aux mineurs pris en charge par la PJJ de réaliser une œuvre écrite, d’arts plastiques, ou numérique en lien avec les bandes dessinées sélectionnées.

Goncourt des détenus : silence, on délibère !

Porté par le Centre national du livre (CNL) et la direction de l’administration pénitentiaire, le premier prix Goncourt des détenus sera décerné le 15 décembre 2022. Depuis le 21 novembre, les détenus des centres pénitentiaires participants délibèrent au niveau interrégional. Le défi ? S’accorder sur les trois romans qui seront en lice pour la délibération nationale.

Rencontrer les auteurs, sélectionner trois romans

Depuis l’annonce des 15 auteurs en lice, début septembre 2022, quelque 500 personnes détenues ont lu et étudié l’ensemble des romans en compétition ou quelques-uns d’entre eux. Le temps des rencontres avec les auteurs est ensuite venu, du 17 octobre au 11 novembre : dans les 31 établissements pénitentiaires ou en visio-conférence, un moment riche de discussions qui a permis à chaque établissement de sélectionner trois romans.

Donner ou redonner le goût de la lecture

Les dix directions interrégionales des services pénitentiaires (DISP) administrent les établissements pénitentiaires de différentes régions qui ont sélectionné trois textes chacune. Depuis le 21 novembre et jusqu’au 2 décembre, le défi consiste à s’entendre sur une nouvelle sélection, cette fois interrégionale, de trois romans.

Membres du jury des maisons d’arrêt de Nîmes, Rodez, Seysses et Béziers (DISP de Toulouse), Mohand, Abdel, Pierre, Pauline et Valentin ont évoqué une expérience intéressante et valorisante, un moment d’« évasion permettant de supporter l’incarcération ». Parmi leurs critères de sélection : la facilité de lecture, l’authenticité de l’écriture, son potentiel poétique ou la possibilité de s’identifier à l’histoire.

 

 

Pour la DISP de Marseille, le jury interrégional était composé de six personnes détenues représentant les établissements pénitentiaires de Marseille, Digne, Avignon et Draguignan. Les six membres du jury ont tenu à remercier toutes les personnes qui ont contribué à la mise en place de ce prix, qui a donné ou redonné le goût de la lecture et de l’écriture à certains.

En effet, s’il y a de grands lecteurs parmi les participants, d’autres étaient totalement novices en matière de lecture. C’est le cas par exemple au centre pénitentiaire de Liancourt qui a délibéré avec le centre pénitentiaire de Vendin-le-Vieil.

Analyser et apprendre à convaincre

Pour leur part, les participants des établissements d’Angoulême, de Bordeaux-Gradignan, de Limoges et de Rochefort (DISP de Bordeaux) ont appris à analyser et à convaincre en devenant membres du jury.

Les rencontres avec les auteurs ont parfois joué une importance capitale pour se déterminer. Dans les centres pénitentiaires de Moulins-Yzeure, Valence et Villefranche-sur-Saône (DISP de Lyon) ces moments de débats ont été salués à l’unanimité par les lecteurs.

Délibération nationale le 15 décembre !

Le 15 décembre, une personne détenue ira défendre les choix de la région qu’il représentera. Pour cette sélection finale, entre trois et 15 oeuvres seront donc en lice. Un nouveau défi puisque les participants devront s’accorder sur un unique roman qui deviendra lauréat.

Porté par le Centre national du livre (CNL) et la direction de l’administration pénitentiaire, sous le haut patronage de l’Académie Goncourt, le premier prix Goncourt des détenus sera décerné dans la continuité de la délibération nationale, le 15 décembre 2022, au Centre national du livre.

D’ici là, les pronostics sont lancés.

 

AMI pour l’affectation sociale d’un immeuble situé à Marseille

Quatrième appel à manifestation d’intérêt découlant de l’application de la loi permettant l’affectation sociale des biens mal acquis.

Les associations d’intérêt général, les associations et fondations reconnues d’utilité publique peuvent désormais se voir mettre à leur disposition les biens mal-acquis ayant fait l’objet d’une décision de confiscation définitive par l’Agence de gestion et de recouvrement des avoirs saisis et confisqués (AGRASC).

>> Retrouvez ici le dispositif

L’AGRASC propose, dans le cadre d’un appel à manifestation d’intérêt, une maison d’habitation d’environ 140 m² élevée en partie d’un étage + combles aménagées, située à Marseille XVe arrondissement.

Les critères d’appréciation et de sélection des dossiers de candidature comprennent l’usage qui sera faite du bien immobilier et de sa contribution à l’intérêt général, l’aptitude à gérer et exploiter le bien immobilier ainsi que le cas échéant, le lien entre l’infraction ayant amené la confiscation, l’objet social de l’association et l’usage qu’elle souhaite faire de l’immeuble.

S’agissant du présent projet, l’AGRASC entend privilégier des projets liés à la lutte contre la délinquance, la prévention de la récidive et/ou la prise en charge des victimes d’infractions pénales.

L’AGRASC entend privilégier des structures :

ayant développé des relations partenariales durables avec l’autorité judiciaire ou l’autorité administrative ;

bénéficiant d’une expérience notable dans leur domaine d’intervention et justifiant d’un ancrage local significatif.

Les candidatures doivent être transmises avant le 6 janvier 2023 à 23h59.

>> Découvrez l’appel à manifestation d’intérêt et le procès verbal de constat.

Annonce de décès survenus dans un contexte judiciaire

Le 2 décembre 2022, un colloque organisé par la délégation interministérielle à l’aide aux victimes (DIAV) a permis d’appréhender les enjeux et les perspectives liés à l’annonce des décès en contexte judiciaire. Le garde des Sceaux, Éric Dupond-Moretti, a présenté la circulaire interministérielle relative à « l’annonce de décès et au traitement respectueux du défunt et de ses proches ». L’objectif majeur de ce texte ? Mieux accompagner les proches endeuillés.

L’absence de cadre réglementaire : un constat

En France, comme dans la majorité des états, aucun texte ne régulait jusqu’à présent les modalités d’annonce d’un décès par mort violente ou lié à un événement nécessitant une enquête judiciaire.

Quelle autorité pour annoncer le décès ? Selon quelles modalités ? Comment procéder lors d’un décès à l’étranger ? Comment informer les proches d’une autopsie judiciaire ? Ces questions importantes étaient laissées à l’appréciation des ministères concernés.

Face à ce constat, la délégation interministérielle à l’aide aux victimes (DIAV) a engagé une série de travaux depuis 2017. Témoignages de victimes, d’associations de victimes et d’aide aux victimes, recensement des difficultés récurrentes rencontrées par les professionnels : tous ces éléments ont permis d’élaborer le rapport intitulé « Comment améliorer l’annonce des décès ? », remis en octobre 2019 à Nicole Belloubet, alors ministre de la Justice.

Mieux accompagner les proches endeuillés

Ce rapport recense 18 recommandations destinées à mieux accompagner les familles endeuillées. Que le décès soit lié à un attentat, un accident collectif, un sinistre… les proches de victimes sont unanimes : l’annonce du décès et ses modalités représentent un moment crucial. Il était donc nécessaire d’accorder une extrême attention à cette question.

L’objectif majeur de ces recommandations était de définir un cadre général commun pour les personnels des ministères concernés : Justice, Intérieur et Outre-mer, Santé, Armées, Europe et Affaires étrangères.

La mise en œuvre de la circulaire interministérielle relative à « l’annonce de décès et au traitement respectueux du défunt et de ses proches » va notamment contribuer à harmoniser des pratiques jusqu’à présent empiriques, l’un des enjeux étant de préserver et de soutenir les proches endeuillés.

 

>> Comment améliorer l’annonce des décès ? – Rapport de la DIAV (juillet 2019)

>> Memo sur l’annonce des décès dans un contexte judiciaire

>> Circulaire interministérielle relative à l’annonce du décès et au traitement respectueux du défunt et de ses proches (à venir)

 

Une circulaire pour mieux encadrer l’annonce du décès

Organisé par la DIAV, en partenariat avec le Centre national de ressources et de résilience et la Fédération France Victimes, ce colloque pluridisciplinaire a rassemblé 180 personnes sur place et plus de 150 personnes à distance. Intitulé « De l’annonce d’un décès en contexte judiciaire à l’accompagnement des proches endeuillées : quels enjeux et quelles améliorations ? », il a été présidé par Alexandra Louis, nouvellement nommée déléguée interministérielle à l’aide aux victimes.

Cette journée a permis aux participants de faire le point sur la mise en œuvre des 18 recommandations, confiée par le premier ministre à la DIAV.

 

 

Éric Dupond-Moretti, ministre la Justice, a remercié chaleureusement les autres ministères et les partenaires institutionnels et associatifs qui se sont mobilisés pour élaborer « des pistes concrètes pour l’ensemble des préconisations ». Il a notamment évoqué la circulaire interministériellequi précise quelles autorités sont en charge de l’annonce selon le contexte du décès, encadre les différentes étapes, garantit le droit à l’information des familles et le respect dû au défunt, assure l’accompagnement des proches en lien avec les associations d’aide aux victimes, jusqu’à l’issue de la procédure judiciaire.

« Ces familles endeuillées rencontrent de multiples situations complexes qui peuvent susciter de l’incompréhension, alors qu’elles sont déjà en grande souffrance », a souligné le garde des Sceaux.

Quelles perspectives ?

Les travaux réalisés depuis 2017 ont permis de mettre en lumière les questions de l’annonce du décès aux proches et de leur accompagnement tout au long du processus judiciaire.

Sur le terrain, des dispositifs plus efficaces sont mis en œuvre notamment par le réseau local d’aide aux victimes. Par exemple, un référent est régulièrement désigné au sein des forces de sécurité intérieure pour être l’interlocuteur unique de la famille en cas de décès sur la route.

L’impact émotionnel pour l’agent qui annonce le décès est aussi mieux pris en compte.

Espace de rencontres et d’échanges, cette journée a permis de faire le bilan des avancées et de prendre la mesure des actions qui restent à réaliser, la dignité due à la victime et à ses proches étant un sujet majeur des politiques publiques d’aide aux victimes.

« Ce rassemblement est un temps fort, tout en sachant qu’il reste des pas à franchir afin de consolider et de pérenniser les améliorations en faveur de l’accompagnement des victimes », a conclu le garde des Sceaux.

 

Sociologie du djihadisme français

Une analyse prosopographique de plus de 350 terroristes djihadistes incarcérés.

 

Le rapport produit par l’administration pénitentiaire, en partenariat avec l’institut d’études politiques (IEP) de Saint-Germain-en-Laye, propose une sociologie du djihadisme français actualisée et précise. Cette analyse a pour objectif de nourrir le débat universitaire et de servir les modalités d’évaluation et de prise en charge des personnes incarcérées pour des faits de terrorisme à référentiel djihadiste.

 

 

Bulletin officiel du 25 novembre 2022

 

Arrêtés et décisions non publiés au JORF

Conseil d’Etat
Régies

Arrêté du 24 octobre 2022 modifiant l’arrêté du 3 mars 2014 portant nomination de régisseurs de recettes ,auprès du Conseil d’Etat (site du Palais-Royal) NOR : JUSE2231118A

 

Secrétariat général
Conseils régionaux de l’action sociale

Arrêté du 23 novembre 2022 modifiant l’arrêté du 9 avril 2015 relatif au statut des conseils régionaux de l’action sociale NOR : JUST2232995A

 

Direction de la protection judiciaire de la jeunesse
Nominations et désignations

Arrêté du 14 novembre 2022 portant délégation de signature de la directrice interrégionale de la protection judiciaire de la jeunesse de l’interrégion Centre-Est NOR : JUSF2230516A

 

Direction des services judiciaires
Régies

Arrêté du 22 novembre 2022 portant cessation de fonctions et nomination (régisseurs d’avances et de recettes) auprès de l’annexe du tribunal judiciaire du Havre NOR : JUSB2233304A

Arrêté du 23 novembre 2022 portant cessation de fonctions et nomination (régisseurs d’avances et de recettes) au tribunal de proximité d’Orange NOR : JUSB2233538A