Cabinet Philippe ALLIAUME

Avocat à la Cour d'appel de Paris

Procédure pénale et supervision des banques : le principe [I]ne bis in idem[/I] détaillé par la Cour européenne

L’application du principe ne bis in idem dans le cadre de procédures mixtes dévoile un raisonnement technique que les juges européens étayent, de manière pédagogique, dans une affaire qui concerne le milieu bancaire. L’arrêt Pinhal – disponible en français – est didactique quant à la transposition des étapes d’analyse à toute autre situation similaire.

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Saisine par le CSE selon la procédure accélérée au fond : prise en compte de la date de signification de l’assignation

Dans le cadre de ses attributions consultatives, lorsque le CSE entend saisir le président du tribunal judiciaire statuant par procédure accélérée au fond, il doit faire signifier l’assignation dans le délai d’un mois – porté à deux mois en cas d’expertise – imparti. Il n’est en revanche pas nécessaire que l’assignation soit enrôlée dans ledit délai.

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Saisine par le CSE selon la procédure accélérée au fond : prise en compte de la date de signification de l’assignation

Dans le cadre de ses attributions consultatives, lorsque le CSE entend saisir le président du tribunal judiciaire statuant par procédure accélérée au fond, il doit faire signifier l’assignation dans le délai d’un mois – porté à deux mois en cas d’expertise – imparti. Il n’est en revanche pas nécessaire que l’assignation soit enrôlée dans ledit délai.

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Réchauffement climatique: près de 70% des Suisses pessimistes face aux politiques

Le réchauffement climatique garde une position centrale parmi les préoccupations de la population suisse en 2024. Selon un sondage SSR, 67% des Helvètes sont d’avis que la hausse globale des températures est un problème sérieux et qu’il faut intervenir au plus vite. Mais près de 70% se montrent en outre pessimistes face à la capacité des politiques à prendre des mesures suffisantes. La population suisse doute sérieusement de la capacité de sa classe politique à répondre aux enjeux climatiques. C’est ce que montre une vaste enquête d’opinion réalisée par l’institut gfs.bern entre la fin du printemps et le début de l’été 2024, commandée par la SSR. Bien que le besoin d’agir soit reconnu comme réel et urgent par 67% des personnes interrogées, près de 70% des sondés ne croient pas que les politiciens du pays arriveront à prendre des mesures suffisantes pour contrer le réchauffement global des températures lié aux émissions humaines de gaz à effet de serre. Ce pessimisme se traduit …