Catégorie : Suisse

Basma Mostafa, cible de la répression égyptienne jusque dans son exil

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Extrait : Surveillance, intimidations, menaces: la journaliste égyptienne Basma Mostafa subit depuis plusieurs années, en Allemagne et ailleurs, les représailles de son pays d’origine. Son histoire illustre le phénomène grandissant de la répression transnationale. Rencontre à Genève. Lorsque nous rencontrons Basma Mostafa dans la discrète salle de conférence d’une ONG genevoise, un lundi soir de canicule, rien dans son visage souriant ne trahit la peur constante qui l’habite. Journaliste d’investigation égyptienne exilée en Allemagne, elle subit depuis plusieurs années les menaces, la pression et la surveillance de son pays d’origine. Aujourd’hui, Basma Mostafa incarne le combat contre ce qu’on appelle la répression transnationale: un phénomène mondial qui regroupe diverses tactiques d’intimidation visant à faire taire les voix critiques au sein des diasporas. Rien pourtant ne la prédestinait à endosser ce rôle. >> Pour en savoir plus sur la façon dont la répression transnationale se … 

L’émigration croisée entre la Suisse et l’Allemagne n’est pas aussi simple qu’on pourrait le croire

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Extrait : La migration entre l’Allemagne et la Suisse semble simple à première vue. Pourtant, des malentendus et des stéréotypes peuvent compliquer le nouveau départ et l’intégration dans le pays voisin. Déménager avec armes et bagages dans le pays voisin en l’espace de quatre semaines. Cela peut sembler ambitieux. Pourtant, dans le contexte de la migration d’Allemagne vers la Suisse, ce n’est pas si inhabituel, comme le montre la thèse de doctorat de l’ethnologue Natascha Bregy. Pendant cinq ans, Natascha Bregy – qui a quitté la Suisse pour étudier à Hambourg – a étudié les expériences migratoires de personnes allemandes et suisses allemandes vivant dans le pays voisin. Les deux groupes ont plusieurs points communs: ils sont généralement très qualifiés, parlent une langue similaire et leurs cultures ne sont pas très différentes. En théorie, rien ne devrait donc entraver leur intégration dans le pays voisin. Enfin, en théorie… Selon l’Office fédéral de la statistique suisse, à la fin de … 

Du grand sceau au grand sot.

Les Etats-Unis ont un grand sceau, sur lequel figure l’aigle à tête blanche, avec un rameau d’olivier, 13 flèches, un écu et un ruban avec la devise « e pluribus unum« .

La Suisse n’a pas de grand sceau, mais on devrait envisager d’en créer un, avec par exemple un pigeon dessus, et non pas 13 mais 7 flèches, ce qui serait déjà un progrès.

https://www.20min.ch/fr/story/avions-de-combat-la-suisse-forcee-de-payer-ses-f-35-jusqu-a-13-milliard-de-plus-103397529

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Une Suisse depuis longtemps sous la pression des Etats-Unis

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Extrait : De la question de l’or nazi aux sanctions de l’OTAN contre les pays communistes: retour sur les pressions que les Etats-Unis ont exercées sur la Suisse avec l’historien Sacha Zala. «La Suisse a toujours été sous la pression des grandes puissances», déclare l’historien Sacha Zala dans l’émission «Seidisera» de la radiotélévision publique italophone RSI. En 1945, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, «les pays neutres étaient considérés comme des États voyous», ce qui explique que les relations avec les États-Unis étaient très mauvaises et qu’il n’y avait aucune relation avec l’Union soviétique, poursuit-il. L’histoire des pressions exercées par les États-Unis sur la Suisse est en fait assez longue. Sacha Zala rappelle que la Confédération a subi des pressions de la part des États-Unis lorsqu’il a été révélé que la Banque nationale suisse avait accepté de l’or volé par la Wehrmacht en Belgique. Dans ce cas, «la Suisse a payé 250 millions de francs», somme «déclarée comme … 

Au chômage à l’étranger? Le retour en Suisse nécessite alors beaucoup de soin

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Extrait : Avant de rentrer en Suisse, mieux vaut être bien préparé. Surtout s’il faut d’abord trouver un emploi. Pour les Suisses et Suissesses du monde entier, le passeport rouge est une assurance: si les choses ne se déroulent pas comme prévu, ils et elles peuvent rentrer au pays. Mais dans la réalité, ce n’est parfois pas aussi simple. «Revenir sans un bon plan, on ne peut pas se le permettre», souligne une Suissesse de l’étranger qui est rentrée après douze ans passés en Grande-Bretagne. «Il faut avoir des économies pour environ un an», affirme-t-elle avec conviction. À son arrivée en Suisse, elle a pu compter sur le soutien de ses amis. En 2024, l’Organisation des Suisses de l’étranger (OSE) a reçu 240 demandes concernant le retour au pays. «La difficulté d’un retour en Suisse dépend de la situation individuelle de la personne», explique Ursula Schindler du service juridique de l’OSE. Il s’agit notamment de son âge, de ses qualifications professionnelles, de ses connaissances … 

Perdu dans les limbes: Berne sous pression pour rapatrier les djihadistes suisses détenus en Syrie

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Extrait : Qu’adviendra-t-il des Suisses qui ont rejoint le groupe terroriste État islamique et sont aujourd’hui retenues dans le nord-est de la Syrie? Des spécialistes en droits humains, des organisations humanitaires et même les États-Unis réclament leur rapatriement. La Suisse, quant à elle, assure qu’elle ne soutiendra pas leur retour. Depuis au moins six ans, trois Suisses sont détenus sans procès dans des prisons contrôlées par les autorités autonomes kurdes dans le nord-est de la Syrie. Ils font partie des dizaines de milliers de djihadistes venus d’Europe et d’ailleurs qui ont rejoint le califat autoproclamé de l’État islamique (EI) en Irak et en Syrie entre 2014 et 2019. Une Suissesse et sa fille de huit ans sont également emprisonnées à Al-Roj, l’un des deux camps où sont retenues les familles d’anciens combattants de l’EI. Mais alors que certains États européens et l’Irak ont commencé à rapatrier leurs ressortissants pour les poursuivre dans leur pays d’origine, la Suisse a jusqu’à … 

La création d’entreprise .. ceux qui en parlent, et ceux qui le font ..

https://www.ifj.ch/Incorporations-in-Switzerland-1-half-year-2025?utm_source=IFJ+Newsletter&utm_campaign=6af6f93647-Venturelab+Newsletter+20250730&utm_medium=email&utm_term=0_-68ad8078b7-[LIST_EMAIL_ID]&ct=t(Venturelab+Newsletter+20250730)&fbclid=IwY2xjawMIgJpleHRuA2FlbQIxMABicmlkETFxYzNTUEp6T3NVSUVsM0dMAR71yvPFUraT2lG5tSO5YBO9aYIVNJ83FP7h7bn9JIQ1qWO9jgdmkP7JQUGhLw_aem_RPlVnnJMTnJnI8m_ltPFdA

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Des mini-émetteurs fixés sur le dos des frelons asiatiques pour lutter contre l’invasion

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Extrait : Depuis le début de l’année, les scientifiques observent une explosion du nombre de nids de frelons asiatiques. Pour freiner la propagation de cette espèce invasive, des mini-émetteurs sont notamment posés sur le dos de l’insecte afin de repérer et détruire les colonies. Reportage lors d’une traque à Neuchâtel. Pour lutter contre le frelon asiatique, il faut d’abord savoir où il se trouve. «Les ruchers sont les meilleurs points de départ pour trouver des individus», explique Carine Vogel, biologiste et responsable de la plateforme frelonasiatique.ch. Elle participe à la lutte au niveau suisse contre le frelon asiatique, qui connaît une expansion fulgurante en Suisse. L’an passé, 750 nids de frelons ont été détruits en Suisse. En 2025, sa présence dépasse désormais les arcs lémanique et jurassien, avec des signalements récents en Suisse centrale. Insectes engourdis par le froid Ce jour-là, la biologiste s’affaire autour d’un rucher. L’objectif est d’y capturer des frelons, de les … 

La Suisse ne vole pas au secours des scientifiques américains

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Extrait : Alors que les États-Unis réduisent leurs financements scientifiques et menacent les universités, de nombreux chercheurs et chercheuses envisagent de déménager, et l’Europe leur déroule le tapis rouge. La Suisse, quant à elle, s’y refuse. Au printemps dernier, dans le cadre historique de l’université de la Sorbonne, le président français Emmanuel Macron et la présidente de la Commission européenne Ursula Von der Leyen ont déroulé le tapis rouge aux scientifiques américains, avec une enveloppe de 500 millions d’euros (466 millions de francs suisses). Cette décision fait suite à celle du gouvernement américain de réduire de plusieurs milliards de dollars le financement de la science, de rejeter les recherches établies en matière de politique médicale et de faire pression sur les universités pour qu’elles modifient leurs programmes d’études. Le plan «Choose Europe for Science» de l’UE est la première initiative centralisée visant à attirer des scientifiques internationaux sur le sol …