Catégorie : Suisse

Le boom du chocolat de Dubaï met le marché de la pistache sous pression

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Extrait : La popularité du chocolat de Dubaï, alimentée par TikTok, a incité les chocolatiers suisses à développer leurs propres versions, ce qui a fait grimper la demande en pistaches. Et bien sûr les prix. Le chocolat de Dubaï a été créé en 2021 par l’entrepreneuse britannico-égyptienne Sarah Hamouda, fondatrice de FIX Dessert Chocolatier, basée à Dubaï. Ce chocolat fourré à la crème de pistache, au tahini et au kadayif (fils de pâte croustillants souvent utilisés dans les desserts orientaux) est devenu viral sur TikTok en décembre 2023 grâce à une vidéo postée par l’influenceuse Maria Vehera. La popularité de la création de Sarah Hamouda a incité les chocolatiers du monde entier à créer leurs propres versions du chocolat de Dubaï, ce qui a entraîné une ruée sur un ingrédient brut: les pistaches. Le prix du kilo a atteint un maximum de 27,81 $ (22,80 francs) en 2024, contre 17 $ en 2022. En novembre dernier, la société chocolatière Lindt & Sprüngli a annoncé qu’elle mettait sur le marché … 

La saga oubliée de ces fines lames du Tessin parties de Losone conquérir Rome

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Extrait : Des dizaines de familles tessinoises se sont installées à Rome au 19e siècle, transformant de petits ateliers en activités florissantes. C’est l’extraordinaire expansion des rémouleurs issus de Losone qui, avec rasoirs et ciseaux, ont envoûté la capitale italienne. Tout au long du 19e siècle, alors que l’Italie achevait son unification, un flux silencieux mais constant d’artisans a quitté le canton du Tessin pour Rome. Les racines de l’émigration tessinoise vers la péninsule remontaient plus loin, mais ce qui se passait à l’époque apparaissait tout à fait singulier. Pour deux raisons. La première est que la grande majorité des Tessinois émigrés vers la Ville éternelle venaient de Losone, une commune à deux pas du lac Majeur et de Locarno. Deuxième raison: ces personnes étaient spécialisées dans les lames. On ne sait pourquoi les Losonesi ont choisi Rome, parmi tant de cités possibles d’une Italie encore désunie. Mais comme cela arrive souvent, s’agissant de cette migration-là aussi … 

Les CFF ne vendent plus de Coca-Cola dans les trains, privilégiant le concurrent suisse Vivi Kola

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Extrait : Il n’est désormais plus possible de boire un Coca-Cola dans les wagons-restaurants des CFF. La boisson sucrée américaine a été sortie de l’assortiment et remplacée par son concurrent helvétique Vivi Kola. Dans les 120 wagons-restaurants des CFF exploités par la filiale Elvetino, les bouteilles de Coca-Cola ont été remplacées par celles du Vivi Kola, produit depuis 1938 à partir de la source d’eau minérale d’Eglisau (ZH). Les CFF ont confirmé jeudi une information du quotidien Blick, précisant que la décision s’appliquait avec effet immédiat. Promouvoir un produit local «Nous avons volontairement voulu marquer un signe de Swissness», s’est justifiée une porte-parole des CFF auprès du tabloïd, ajoutant être «convaincue par la qualité du produit». La bouteille de Vivi Kola à bord des trains coûte autant que celle de Coca-Cola, soit 5,40 francs. Depuis plusieurs années, les CFF mettent l’accent sur les produits régionaux et saisonniers dans leurs wagons-restaurants, a aussi déclaré le … 

Asile en Suisse: les principaux chiffres en un coup d’œil

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Extrait : La guerre en Ukraine, le retour au pouvoir des talibans en Afghanistan ou encore les conséquences de la crise climatique à l’échelle mondiale poussent des millions de personnes à s’exiler pour rejoindre des pays plus sûrs. Quand des catastrophes frappent le monde, la Suisse en ressent aussi les effets en tant que pays vu comme un refuge. Mais qui arrive dans la Confédération, et qui est autorisé à y rester? Pour répondre à ces questions, l’équipe data de la chaîne publique alémanique SRF actualise chaque mois une série de graphiques, qui illustrent les principales évolutions dans le domaine de l’asile en Suisse. Qui se trouve actuellement dans le processus d’asile? On peut voir le processus d’asile comme un immense hall administratif. Toute personne requérant l’asile en Suisse entre dans ce hall et n’en ressort souvent qu’après plusieurs années avec une décision. Le nombre de personnes actuellement intégrées dans la procédure d’asile en Suisse n’a jamais été aussi élevé depuis des … 

Cinq lieux insolites pour installer des panneaux solaires en Suisse

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Extrait : L’énergie solaire est essentielle pour parvenir à une société zéro émission, mais elle nécessite un espace suffisant pour l’installation de panneaux photovoltaïques. Des voies ferrées aux lacs, voici les idées suisses les plus surprenantes et prometteuses en matière de surfaces de production. La Suisse veut augmenter considérablement la production d’énergie solaire. D’ici 2050, le photovoltaïque et les autres sources renouvelables devront couvrir 60% de ses besoins en électricité. En 2024, le pays alpin a produit 7,5% de son électricité à partir du soleil, selon l’Office fédéral de l’énergie (OFEN). Cette part est supérieure à la moyenne mondiale, mais inférieure à celle de pays européens comme l’Allemagne, l’Italie ou l’Autriche. Pour atteindre son objectif, la Suisse doit quadrupler la capacité actuelle de ses installations solaires, selon un rapport récent d’un consortium de recherche universitaire. Les toits et les façades des bâtiments sont les surfaces de production les plus … 

Choc culturel? Les quatre phases de l’expatriation

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Extrait : S’installer à l’étranger est une expérience passionnante, mais souvent difficile. Entre le choc culturel et l’adaptation, de nombreux expatriés et expatriées passent par différentes phases. Lors d’une émigration, on laisse derrière soi sa famille, ses proches et ce que l’on connaît déjà, sans pour autant savoir de quoi sera fait le futur quotidien. «Cela conduit inévitablement à une phase de transition où l’ancien manque et où le nouveau n’est pas encore palpable», explique Rahel Siegenthaler, experte et coach en communication interculturelle. Malgré une préparation minutieuse à l’émigration, un choc culturel peut se produire – une réaction psychologique et émotionnelle à la vie dans une culture nouvelle et inconnue, reconnue par la science. Dans le processus d’adaptation, les personnes passent par différentes étapes. L’anthropologue Kalervo Oberg a décrit quatre phases, que Rahel Siegenthaler résume comme suit: 1. La phase de lune de miel «Dans cette première phase, la nouvelle … 

Ramuz au Chatelet

https://www.chatelet.com/programmation/24-25/histoire-du-soldat/?ms=ziGBQGrv-NF6–Zt4JpuxqDqcaU3VjKvSLWr_bwF4JoJLWzRxxRiPy5cT7EGFmg1Rxwhqbi5720dfZ7esJQtz8FWTE2t-_2ZIy5_KOk9mTOuunVxbBgdHwITODD6cvTg5yE2RDvpw5VSzhoypfQhVvc0FyzaoZLmFte3VGGNLqdIED1oG9XtvfRP0oB783vZGZFftu4cmJsRsRFl6GjQWuyDq035p5-oeokfpjr3lNYXkWwu60cy79PrAVJz-9Umrifcmui2zYsCDLy8oKJ8W786rWxoyoPZMCGMRb8BMFcz9MRFDDev0nR1AczbWGVWhQO_UvZKjQUc9ocrqwZMQA

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Des experts alertent sur le manque de programmes de déradicalisation en Suisse

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Extrait : Par rapport à d’autres pays, la Suisse est mal préparée en matière de programmes de déradicalisation. Une situation qui pourrait représenter un risque pour la santé mentale des anciens sympathisants de l’EI, mais aussi pour la sécurité des citoyens. Lorsqu’une avocate a cherché un programme de déradicalisation pour un ancien sympathisant du groupe Etat islamique, elle a dû constater qu’il n’en existait que peu en Suisse. L’offre est très marginale en dehors des prisons. Mirjam Eser Davolio, de l’Institut pour la diversité et la participation sociale de la Haute école des sciences appliquées de Zurich (ZHAW), le confirme au micro de SRF: «Nous sommes un peu faibles en Suisse en ce qui concerne les offres de déradicalisation.» Les cantons seraient un peu hésitants. Le Réseau national de sécurité ainsi que le Centre suisse de compétences en matière d’exécution des sanctions pénales identifient également un besoin d’action. >> Écouter le reportage de SRF: Déléguer la tâche aux … 

Cinquante ans à serrer les dents: Taïwan se bat pour une place à l’OMS

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Extrait : Le diplomate taïwanais Wu Yung Tung, 87 ans, est en campagne depuis des décennies pour que son île redevienne membre de l’OMS. Or, malgré la réponse somme toute exemplaire apportée par Taïwan au moment de la pandémie du Covid 19, la Chine met plus que jamais les pieds au mur. Les espoirs de Taipei risquent encore d’être douchés. En faisant ses bagages, Wu Yung Tung jubilait. Diplômé de l’école de médecine du sud de Taïwan, il se préparait à vivre une expérience passionnante, celle d’une résidence médicale de six mois au Japon. Arrangé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en 1970, ce séjour des plus instructifs était un des nombreux avantages dont jouissait Taïwan, alors membre de l’organisation. «À l’époque, je pensais vraiment que l’OMS, c’était très bien», lance le diplomate en costume bleu marine installé dans la salle de réunion de l’Association médicale taïwanaise (TMA), au centre de Taipei. Mais peu de temps après son retour chez lui, les choses ont changé, raconte-t-il. 

La pensée à somme nulle, un phénomène qui dépasse les partis politiques

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Extrait : «Si tu gagnes, je perds», c’est ce qu’on appelle la pensée à somme nulle, ou «zero-sum thinking» en anglais. Une nouvelle étude de l’Université de Bâle montre que les sympathisants des partis de gauche comme de droite utilisent ce concept. Le président américain Donald Trump est un bon exemple de la rhétorique de la pensée à somme nulle. Cette croyance se manifeste dans des arguments tels que «si un emploi va à un migrant, cela signifie un emploi de moins pour un citoyen américain» ou encore «ce qui est produit en Asie ne peut pas être produit aux États-Unis». En Suisse, l’idée que l’on ne peut gagner que si quelqu’un d’autre perd est également très répandue. Une étude de l’Université de Bâle, basée sur la deuxième édition de l’enquête nationale SSR «Comment ça va, la Suisse?», montre qu’un tiers des sondés pensent que la prospérité peut croître de façon à ce qu’il y en ait assez pour tout le monde, donc sans avoir besoin de le faire au détriment des autres. À l’inverse, ils sont …