Article 757 du code général des impôts – 12/05/2021
Renvoi
Avocat à la Cour d'appel de Paris
Avocat à la Cour d'appel de Paris
Son travail consiste à promouvoir des soins de santé universels, à établir des normes et à coordonner la réponse mondiale aux urgences sanitaires. Lorsqu’un nouveau coronavirus est apparu fin 2019, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a été propulsée sous les feux de la rampe et utilisée – par certains – comme bouc émissaire de l’incapacité à contenir la Covid-19. L’agence basée à Genève sera à nouveau au centre de l’attention des médias fin mai, lorsque son organe décisionnel, l’Assemblée mondiale de la santé, se réunira. Les propositions visant à améliorer la préparation aux situations d’urgence et à garantir un accès équitable aux vaccins figureront en bonne place à l’ordre du jour. Mais que savons-nous vraiment de l’OMS? Qui la dirige et comment son travail est-il financé? Qu’a-t-elle accompli depuis sa création en 1948, et qu’a-t-elle pu faire – ou non – pour répondre à la pandémie de Covid-19?
Bernard Tapie comparaît devant la cour d’appel de Paris, prévenu d’escroquerie et de détournement de fonds publics, dans le volet pénal de l’arbitrage frauduleux qui, en 2008, lui avait attribué plus de 400 millions d’euros. Comme ses cinq coprévenus, il avait été relaxé en première instance.
Bernard Tapie comparaît devant la cour d’appel de Paris, prévenu d’escroquerie et de détournement de fonds publics, dans le volet pénal de l’arbitrage frauduleux qui, en 2008, lui avait attribué plus de 400 millions d’euros. Comme ses cinq coprévenus, il avait été relaxé en première instance.
Malgré les appels répétés des instances internationales, la Suisse refuse de rapatrier ses ressortissants adultes des camps syriens. Conséquence: sept enfants suisses sont bloqués dans le pays en guerre. Elles n’avaient que quatre et neuf ans en 2016, quand leur mère suisse les a emmenées à l’étranger «pour des vacances». Mais il s’agissait d’un voyage sans retour. Au lieu de rentrer à la maison à Genève, les deux demi-sœurs sont passées par l’Italie, la Grèce et la Turquie avant d’arriver en Syrie, où leur mère avait prévu de rejoindre DAECH, l’État islamique. Aujourd’hui, les deux filles et leur mère sont détenues à Roj, un camp contrôlé par les Kurdes dans le nord-est du pays. En mars dernier, elles ont fait la une des journaux, lorsque leurs pères ont adressé une lettre à tous les parlementaires fédéraux à Berne pour demander leur retour. Leur démarche a touché jusqu’aux experts des droits de l’homme des Nations unies, qui ont pressé les autorités suisses de faire sortir les…